jeudi 23 avril 2009

On peut bien dire ce qu'on voudra : vous avalerez toujours...

Les mecs, vous avez remarqué à quel point les filles croient tout ce qu'on leur dit ? C'est pas possible d'être connes à ce point ! Genre, tu leur causes de Baudelaire (si elle est normale) ou de Yourcenar (si t'es tombé sur une counasse de féministe barrée de la foufoune), et elles pensent immédiatement que tu sais de quoi tu parles, que t'es une espèce de dieu, un Rimbaud, un Morisson, bref : elles mouillent direct. Toi, au début, ça t'écoeure un peu, forcément : faut le temps de s'y faire, à leurs trucs. Même pour elles, à la base, ça doit pas être h'évident, remarque. On a beau être des pue-la-sueur (mais, nous, c'est à cause du foot, c'est pas tromper), on comprend bien le traumatisme : t'es une petite fille, une pisseuse de toute éternité, t'es propre comme un sou neuf, tu renifles la savonnette tant que ça peut, pis alors là, d'un coup, parce que t'as vu passer un petit crétin à blouson, tu te mets à respirer l'étal de poissonnier – sans parler du nuoc mam qui te coule le long des cuisses : ça perturbe, forcément.

Du coup, le prochain grelotteux acnéique qui passe, sabre au clair (comme dirait l'autre con d'Olivier B.), et qui lui fait croire que c'est normal, elle se sent drôlement reconnaissante, la Vanessa. Un sourire carrié, deux accords de rock, et vas-y que je t'emballe ; elle s'alanguit, elle s'émollie, elle s'allonge – et te la voilà déberlinguée pour les siècles des siècles.

C'est pas plus compliqué que ça, les grognasses.

17 commentaires:

  1. C'est fini, tout ça, mon bon monsieur.
    Finie la savonnette, déjà. Savonnette ! mais quelle fille se lave avec une SAVONNETTE ! Rien que le mot vous parachute direct dans les années soixante, Monsavon au lait, Bébé Cadum, avant les premiers déodorants, les lotions, les mousses, les gels-douches liquide... Il n'y a plus que les écolos suspicieuses qui se lavent au savon, et là, c'est au savon sauveur de planète genre savon d'Alep ou de Marseille oui mais à l'huile d'olive de Nyons cueillie à la main pure souche pressée à froid et embouteillée chez l'habitant.
    Deuxièmement, une fille qui pue le poissonnier ne devait pas l'utiliser souvent, la savonnette. Si l'on veut rester marin, grand vent, air du large, la fille elle sent la perle d'huître, le chant des sirènes, la brise sur les îles, rien d'autre.
    Troisièmement, eh bien troisièmement je n'ai pas le temps, mais vous ne perdez rien. Attendez un peu.

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  2. Suzanne, je viens de rompre avec Didier...

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  3. Vous savez pourquoi Dieu a inventé l'alcool ? Pour que les femmes moches aient une chance de se faire tirer.

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  4. ...et pour que les hommes moches aient une chance de les tirer...
    Droit à l'alcoolisme pour tous!

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  5. Je vois double : 2 r à "carié", pourtant je n'ai pas bu.

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  6. Marine : ah non ! Nous, avec l'alcool, on se contente de débander.

    Et de préférer boire encore avec nos potes.

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  7. Un, le déo, pffff...
    et quand je pense qu'y a des mecs qui se tartinent au stick !

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  8. Si c'est comme ça, demain, je sors Pépé Joseph !

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  9. Ouais, ouais, vous avez peut-être raison m'sieur Goux en disant " c'est pas plus compliqué que cela les grognasses"...
    Ouais, ouais, on peut le voir ainsi sauf que : Savez-vous pourquoi les hommes ont les jambes arquées ???
    - le football me direz-vous, on prétend souvent, en effet, que ces mââââles finissent par avoir les jambes arquées...
    - eh ben non, mon bon monsieur (suis solidaire Suzanne !!!!!), la réponse est :
    "les choses sans importance sont toujours mises entre parenthèses"
    Et puisque l'on fait dans "l'esprit marécageux" ....je poserais une autre question à ces dignes, charmants et adorables géniteurs, qui savent si bien nous emmener au Paradis ...
    - Quand un homme français se lave-t-il les mains : Avant d'aller pisser ou après....???
    Eh bien, croyez-le si vous voulez mesdames, et comme je m'en voudrais de fatiguer notre si précieuse matière grise, je donne la réponse de suite :
    - pendant...
    conclusion : tartinage au stick bienvenu...

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  10. au passage Dorham, déterre aussi ma mémé "Marie-Josèphe"....

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  11. "Le mot passant"
    Une petite bafouille de la douce Jeffanne...

    En opposition à la perfidie de nos mâles bien pensants.

    Vous êtes quand même durs les mecs, au lieu d'être flattés lorsque l'on s'extasie devant votre splendeur de mâle, que l'on bêtifie devant votre intellect, que l'on ouvre les yeux grands comme des soucoupes devant votre savoir littéraire et que l'on reste la bouche ouverte devant votre séduction....
    Vous nous traîtez "de petites filles qui se négligent" et qui, après avoir fait le tour de la poissonnerie, sentent la marée... plus même, vous dépassez les frontières en parlant de nuoc-man en oubliant de passer par l'Afrique où l'on peut s'acheter du "sent bon" dont le nom vous semblera très parlant et qui se nomme "l'Eau Puante de Chacal"...

    Messieurs, messieurs, je vous en prie, restez dignes et permettez-moi une petite suggestion :
    - de vos bourses déliez le cordon,
    et, avant de penser à baisser votre pantalon,
    Offrez-nous donc, l'un de ses élixirs envoûtants : Ces mousses de toilettes qui sentent divinement bons (qui vous laissent la peau nacrée et si douce, si douce) qui vont du "Rouge Hermès et, en passant chez Boucheron, arrêtez-vous chez Chanel au numéro 5, saluez aussi Melle Ricci et profitez de "l'Air du temps" et j'en passe... excusez-moi les oubliés...

    Madame est insolente me direz-vous !!! pas tant que cela, madame énumère des petits cadeaux de "fête des mères".

    Après cela un petit coup de main pour la douche serait le bienvenu... allez, allez, messieurs laissez-vous aller... vous en apprécierez toute la volupté...

    Et puis laissez courir votre imagination,
    revenez à la raison...
    Ne sommes-nous pas des joyaux féminins,
    entre vos douces et caressantes mains ???

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  12. Je n'ai pas osé demander à Monsieur Goux d'être le dépositaire de nos requêtes parfumées...aux multiples fragrances...
    Si, quelqu'un (quelqu'une) a plus de poids que moi auprès de lui, qu'il (qu'elle) ose mais, bien évidemment, à ses risques et périls.
    Toi Nicolas, peut-être, tu es un ami à lui...
    Merci, merci, merci

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  13. Merci à Suzanne.
    Finalement, je l'avais bien lue, la bannière ! "Association de mâles péteux".
    Allez, adieu.

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  14. Adieu Frieda,
    repassez quand vous voulez.

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  15. Si vous avez une si piètre opinion des femmes et que vous en faite à ce point des petits objets sexuels dépourvus d'intérêt autant que de cervelle, je vous conseille vivement de vous contenter des modèles gonflables et d'arrêter de mépriser les êtres humaines de sexe féminin. Ou alors, il faut devenir homo, je ne sais pas.

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  16. Je vous conseille d'arrêter le 12 degrés et de vous limiter au deuxième.

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