Peux-tu comprendre que tu m’emmerdes ? Etant taulier de ce blog, je suis dans l’obligation, presque légale, puisque responsable de la publication, mais surtout morale, en tant que taulier, de lire tes commentaire. Toi, tu n’es pas obligé de lire ma prose, ni celle de mes potes, tu viens quand tu en as envie.
Or, le blogage est notre loisir ! Tes commentaires (243220 par billet) sont sans le moindre intérêt. Tu es sans le moindre intérêt. Comprends-tu que ça puisse me déranger de devoir te lire puisque j’en suis obligé. Je passe mon dimanche après midi à consulter des sites pornographiques dégueulasses et je suis dérangé toutes les deux minutes par un message sonore m’indiquant la réception d’un mail, donc d’un commentaire.
Ca m’emmerde. Tu m’emmerdes. Ca serait un commentaire par billet, ça serait sympathique de ta part. Mais plus, c’est de la plus profonde grossièreté, de la vulgarité à l’état pure : tu rentres dans notre vie privée. C’est inacceptable ! Un manque de savoir vivre incroyable. Que tu t’emmerdes, toute seule, chez toi, est compréhensible. Mais tu peux faire comme les autres : consulter des sites pornographiques en buvant de la bière.
Peux-tu enfin comprendre que lire tes commentaires débiles m'emmerde et que tu peux ne pas les poser ? Tu peux m'oublier.
Nicolas, je le redis ici : je suis en profond désaccord avec cette attaque totalement hors de propos et d'une méchanceté que je ne puis pas cautionner, surtout s'agissant d'une personne qui, je crois, avait parfaitement compris le côté "distancié" de ce blog.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerJe n'ai pas l'habitude d'agir ainsi à la légère. Et ce n'est pas vous qui allez me donner des leçons de savoir vivre vu le nombre de potes à moi que vous insultez dans vos billets !
Bon, on en recause demain ? A tête reposée ? Décontractés du gland ?
RépondreSupprimerIl ne s'agit pas de "leçons" et pas plus de "savoir-vivre", voyons ! C'est juste que je ne comprends rien à ce déferlement soudain !
RépondreSupprimerEt puis, hein, quand je m'en prends à l'un de vos potes, vous vous faites rarement faute de m'envoyer dans les cordes, si ?
Je vous explique donc : cette d'âme a debarqué il y a quelques jours sur mon blog. Aucun commentaire aimable ou drôle. Je lui ai envoyé un, deux, trous, quatre, ... Comme elle n'a pas compris, j'ai tapé. Un peu comme gamin qui fait des conneries : il se fait engueuler une fois, deux fois,... et finit par se prendre une baffe.
RépondreSupprimerPar ailleurs, je ne vous ai jamais demandé de cautionner mes propos ici, comme d'ailleurs je n'ai jamais lu vos billet ici - ni ailleurs - avec l'idée d'avoir à les cautionner.
cette d'âme lol!
RépondreSupprimerLaissez, Didier!
je pars ^^
oulala, pas envie de faire la guerre sur le ouèbe...
Je trouve les méthodes du sieur en question tout à fait inélégantes et mensongères, mais s'il pouvait courir aussi vite que je, on va dire, l'em...te, je craindrais beaucoup pour la longévité du record du monde de sprint.