Ils étaient amoureux
Ils s'aimaient tous les deux;
Ils étaient heureux
Chaque soir chaque matin
Ils allaient au turbin,
Le coeur plein d'entrain.
A l'atelier, ses copines lui disaient:
"Pourquoi tu l'aimes tant, ton Dudule ?
Il est pas beau, il est mal fait";
Mais elle, gentiment, répondait:
"Z' en faites pas, les amies,
C' que j'aime en lui."
Refrain :
"C'est la grosse bite à Dudule,
J' la prends, j' la suce, elle m'encule,
Ah ! les zamis, vous dire que c'est bon
Quand il m' la carr' dans l'oignon.
C'est pas un' bite ordinaire
Quand il m' la fout dans le derrière,
Je m'sens soudain, toute remplie
Du cul jusqu'au nombril,
A Dudu-ule"
Ca devait arriver
Ils se sont mariés
Ils ont convolé
D'abord ça tourna rond
Après c'était moins bon,
Il lui mit des gnons.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
Pourquoi tu n'tues pas, ton Dudule ?
Il t'a battue, il t'a cirée".
Mais elle, gentillement répondait:
"Z' en faites pas, les amies,
Ce que j'aime en lui."
Refrain
J'étais seule un beau soir,
J'avais perdu l'espoir,
Je broyais du noir;
Mais voilà que l'on sonne,
Je n'attendais personne,
Je reprends espoir
Mon petit coeur se mit à faire boum-boum
Si c'était là mon Dudule ?
L'était pas beau, l'était mal fait
Mais moi, tendrement, je l'aimais
J'ouvr' la porte, j' tends les bras,
Et qu'est-ce que je vois ?
Refrain
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Ah, enfin, on tombe le masque !
RépondreSupprimerVoilà maintenant on peut dire : "c'était Jérome !"
RépondreSupprimervotre sensibilité mask-cul-in n'a d'égal que votre sensiblerie... car c'est vous, Messieurs, qui écrivez ces joyeusetés, ainsi que les précédemment citées les C Jéromiades(elles ont le mérite de vous distraire et de vous amuser... il faut bien occuper les garçons le mercredi ;-))
RépondreSupprimerNotre sensibilité à nous F'âmes (!!! celui qui ajoute in- je lui dirai nananère...) ce sont souvent des femmes qui la chantent, une Dalida, par exemple, 'il venait d'avoir dix-huit ans il était beau comme un enfant, foooort comme un hoooomme...', ou bien, pour faire plus récent, Tina Arena, 'on m'appelle Bagdad, et je suis tombée sous le feu des blindés... les contes des mille et une nuits n'intéressent plus personne, ils ont tout détruit, tout détruit...'.
Messieurs, allez vous rhabiller...
Dalida, c'était pas la grosse à Mitterrand ?
RépondreSupprimerTina Arena ?
RépondreSupprimerJe t'aime beaucoup mais là, tu déconnes un peu quand même...
Lucia : chantée par Dalida, pet-être, mais écrite par Pascal Sevran – donc, un homme.
RépondreSupprimerPascal Sevran était un homme ? Je suis toujours le dernier prévenu moi !
RépondreSupprimerQuel beauf ce Dorham
RépondreSupprimerDommage que tu n'aies pas mis la vidéo, elle vaut son pesant d'or...
RépondreSupprimerSurtout pour les mecs qui aiment les jolies nanas brunes.
Je parle de la vidéo, concernant cette chanson, bien sûr...
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