dimanche 26 avril 2009

Attention, billet gratiné !

Avant-hier, souvenez-vous en, mes roucoulantes tourterelles, je proposais de refoutre à la mer les Ritals (Ritaux ? Ritons ?) prétentieux qui se permettaient de “faire” plus de commentaires que les vrais Français estampillés de souche, cuir repoussé, dorures à plat, etc. Finalement, j'ai trouvé un truc plus malin pour s'en débarrasser sans risquer les embrouilles : le gars Dorham, on va lui balancer dans les pattes deux ou trois petites gagneuses méritantes et banlieusardes, des professionnelles du réchaud pelvien, et on va l'envoyer faire le mac à Rosny.

Avant de le donner à la Mondaine.

63 commentaires:

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  4. Raté,
    Vous croyez vraiment qu'il m'arrive de sortir de Paris ? Pourquoi pas la Province tant qu'on y est !

    (Rosny, je connais bien, je suis tricard ; vous fatiguez pas, à La Courneuve itou)

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  5. Je suis en train de chercher avec Tagliatelle et tortellini, mais c'est duraille...

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  6. Marine : ben, non, c'était la bonne porte...

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  7. Bon, votre tentative a avorté, mais maintenant j'ai faim...
    Alors, je vais manger...

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  8. Les Italiens hyperactifs, faudrait les mettre sous Ritaline™, ça les calmerait.

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  10. Marine : au lieu de faire la folle, vous auriez mieux fait de penser au parmigiano...

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  13. Sinon, Philippe Bouvard vient d'appeler, vous êtes sélectionné pour les Grosses Têtes, désormais, vous serez roi au pays des chauffeurs de taxi !

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  15. Marine,
    Aucun jeu de mots, t'es recalé !

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  16. Arf ! tu dois avoir l'habitude, remarque...

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  20. Didier est sélectionné ! Il faut avoir un certain âge quand même pour aller chez Bouvard, faut avoir les genoux en miettes ce genre de choses, la musique de Rocky résonne, les mecs se radinent en déambulateur.

    C'est pas pour toi Marine...

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  21. Marine, tranquillisez-vous : il mouline des bras avec d'autant plus de hargne qu'il vous sait désormais intouchable (sauf avec votre consentement explicite).

    Dorham : un peu facile, le coup du "je crois que j'ai deviné mais je ne dirai rien" !

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  23. Marine : pour Bouvard, j'userai de mon influence pour que vous soyez admise dans le public...

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  24. Bon, j'arrive plus à suivre, là...

    (Et, en plus, je devrais bosser !)

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  26. pour le public, non merci ça va, je connais très bien le videur, j'entre quand je veux.

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  27. Vous pouvez pas me louper, j'aurais un gros magnolia rose dans les cheveux. Que j'aurai bleus, ce jour-là.

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  28. "Bon, j'arrive plus à suivre, là"

    On avait cru comprendre.

    Pour Jeffanne, je veux bien donner un indice ! du coup, je ne me sentirai pas coupable d'avoir dévoilé la terrible vérité !!!!!!!!!!!

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  30. Marine,

    Méfie-toi quand même (et là, je le dis très sérieusement) les fleurs dans les cheveux, c'est funeste !

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  31. "Nicolas a l'air absent, j'en profite lâchement. Prévenez-moi dès qu'il arrive, svp".

    Je ne peux rien faire pour toi, je ne vis pas avec lui.

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  33. "Je ne peux rien faire pour toi, je ne vis pas avec lui."
    Ah? j'aurais cru.

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  34. Bon, alors ??? Cet indice, il vient ???

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  35. Marine : c'est moi qui vis avec Nicolas (habilement camouflé sous le pseudo d'“Irremplaçable”), vous confondez tout.

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  36. Oui, Marine, moi, je suis enchaîné à une portugaise féministe à l'impressionnante tignasse (remarque, comme Nicolas, l'irremplaçable) !

    Chaque soir, elle me lacère l'arrière-train pour toutes les fautes commises dans la journée !

    (si je devais vivre avec un mec, ce serait avec ce petit con de Balmeyer, mais il est en vacances !)

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  38. Purée Didier,

    Disons que c'est un indice grec !

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  39. Et ben voilà, il les a ces 39 commentaires...

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  40. Vos jeux de mots font plus que Strindberg, c'est une honte.

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  42. Marine,

    Je connais bien Balmeyer, ensemble on a fait pire...

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  43. S'il n'était si fainéant...

    (et qui te vire ? à chaque fois tu dis ça, mais...)

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  48. "et quand vous ne vous vautrez pas dans le stupre et la fange nauséabonde (!) de backrooms de saloons à filles (ou à mecs)"

    Merde, ça nous arrive, ça ?
    Va vraiment falloir faire gaffe alors...

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  49. Oups ! J'ai effacé par mégarde une vingtaine de commentaires.

    Marine

    Foutez-moi le camp, vous me les brisez.

    Didier et Dorham,

    Désolé, mais je ne vais pas chier sur le paillasson de l'autre connasse. Le blog est mon loisir : il n'est pas question que je m'y fasse emmerder par une pétasse qui, de toute manière, aura trouvé un nouveau jouet dans quelques jours.

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  51. Oublie moi. Ne serait-ce que par savoir vivre.

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  54. Pas de mauvais poil, mais horreur de me lever de la sieste avec 30 messages sans intérêt et me chiant dessus : je rappelle : ceci est mon espace de loisir, je ne vais pas chier sur ton paillasson.

    Je n'ai pas bu, je me réveille.

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  56. Si un con n'avait pas effacé les commentaires, tu pourrais vérifier.

    Fous le camp.

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  58. Le procédé est honnête!
    Comme tu as tout effacé, personne ne peut voir que je ne te "chiais pas dessus"...ça fait frémir!

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  59. Si, il reste Didier et Dorham qui ont reçu des mails. Mais fous le camp.

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  60. Mais on s'en fout royalement. Le fait est que ce blog est à moi et que j'en ai filé les clés à des amis : ne me casse pas les couilles. Fais chier les autres sur leurs blogs.

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  61. Marine : Je viens de demander à Nicolas de me rayer des auteurs de ce blog. Je compte qu'il va le faire.

    Je ne comprends rien à ce qui se passe ici...

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  62. Moi non plus, je n'ai pas compris Didier.
    Il n'a sûrement pas dû lire et a effacé, puisque ça venait de moi.
    Mais je vous demande de ne pas vous facher avec Nicolas "à cause" de moi. Tourt ça n'a guère d'importance...

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  63. En tout état de cause, merci de votre intervention :)

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