On parle souvent de ces terribles guerrières, les amazones, qui vivaient au fond des bois après s'être coupée un sein. Elles montaient à cheval de travers, d'où l'expression : "monter en amazone".
Il est temps de réhabiliter cette tribu assez proche mais pourtant injustement méconnue, car ayant vécu dans l'ombre de ces pittoresques créatures : les amazons.
Les amazons vivaient au fond des bois, après ne pas s'être coupés un testicule, car c'étaient des petits malins. Ils étaient futés. Ils n'allaient pas se mortifier les gonades pour des histoires d'éthnotrucs. Ils montaient à cheval normalement. D'où l'absence d'expression à ce sujet. Parfois, ils ne montaient même pas à cheval.
Les amazons étaient de terribles guerriers. Ils étaient très robustes, sauf quand ils étaient malades, et qu'ils avaient vraiment mal à la gorge, mais à part à ça, ils gagnaient très souvent.
Bien que doux et pacifiques, les amazons effectuaient de nombreuses expéditions punitives à titre préventif, contre les tribus voisines. Sitôt les victimes nues capturées, elles étaient habillées, puis mises toutes nues, et les amazons tournaient autour en scandant des : "comment-ça-je-refuse-de-m'engager" ou de tonitruants "comment-ça-on-peut-changer".
Mais parfois ils étaient magnanimes, et soudain, enterraient la hache de guerre et proposaient le grand calumet de la paix, ou, à défaut, une petite pipe.
Leurs coutumes étaient calquées sur leurs cruelles consœurs : ces "veufs noirs", sitôt l'accouplement consommé de manière fornicatrice, dévoraient leurs conjointes fécondées, se passant allègrement de la vie en couple, eux aussi. Leur tribu s'est éteinte assez rapidement, ce qui est ballot.
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Je dois avoir de la famille dans cette tribu, les mélopées qu'ils scandaient me sont étrangement familières. Mort de rire.
RépondreSupprimerMort de lol itou,
RépondreSupprimerespérance de vie de la tribu...
50 ans tout au plus,
c'est beau, le dernier amazon devait être fier...
Si la légende dit "faux", il est devenu le premier amazon-poule de l'histoire... L'Histoire du mâle le recommande : "surtout, ne jamais flancher !"
Mais nous pouvons à tout moment ressusciter la tribu de nos ancêtres !! Tout est possible (sauf un titre de champion de l'OL).
RépondreSupprimerExcellent amazon, le roi des couillons. Reste à trouver le masculin de Walkyrie, et sa panoplie.
RépondreSupprimerSûr que non, M'sieur Balmeyer, ils ne risquent pas d'avoir le titre de champion de l'OL, ces amazons mais quand même... ce sont de sacrés mâles, franchouillards à souhait, dégustant pipe sur pipe aussi, à défaut de calumet...
RépondreSupprimern'empêche que leur répertoire s'avérait "vachement primitif" quand ils dansaient (les grelots s'entrechoquant en essayant de suivre le rythme du métronome) et qui ahannant, chantaient oubliant les demi-mesures, les dièses et les trilles : "comment-ça-je-refuse-de-m'engager" ou pour varier "comment-ça-on-peut-changer"...
Cette année pas de prouesses pour ces amazons...zons...zons... ils sont tranquilles
si j'ai bien compris l'OL va l'avoir dans le baigneur...
Rigole pas si fort Dorham, je t'entends, jusque chez moi...
RépondreSupprimerAlors, on le partage ce fou-rire !!! tu veux bien...²
Hé, ceux qui traînent... venez rire avec nous...
N'oubliez pas ceci :
Faites la gueule : 65 muscles travaillent...
Souriez : 10 suffisent...
alors pourquoi vous surmenez...
@ Mère Castor : merci d'être là
C'est vraie cette "cruelle" histoire ? snif !
RépondreSupprimerBésitos
Tout est vrai sur ce blog couillu.
RépondreSupprimerLes vrais hommes ne mentent pas, car le mensonge, la rouerie, tout ça, c'est des trucs de gonzesses.
RépondreSupprimerEt il aurait fallut signaler que les Amazons sont point qu'hommes.
Ils n'ont pas fait assez d'amazonards pour perdurer.
RépondreSupprimern'avoir qu'un seul testicule n'empêche rien...on peut être couillu avec une seule couille (ça se mesure à la voix). Du reste n'en a voir qu'une n'est-il pas plus confortable à cheval ?
RépondreSupprimerZêtes poltrons ...plutôt que petits malins, même pas cap de s'en couper une, les amazonEs étaient plus valeureuses et elles n'en restaient pas moins femmes avec un seul sein.
Le trop est l'ennemi du bien...
RépondreSupprimermon beauf (eh oui j'ai des beaufs) avait un ami qui se coltinait "trois couilles" à lui tout seul...
Heureusement que je ne l'ai su que plus tard,
coquine comme je suis, je n'aurais jamais pu empêcher mes yeux vagabonder sur cet endroit secret qui enfermait "les précieuses". Maintenant je me demande comment il rangeait tout cela : en colonne, en ligne, en quinconce... et dans quel string, le pauvre...
En revanche, je n'ai jamais su comment il s'en servait ou si l'une d'elles faisait seulement office de roue de secours...
J'avoue que cela devait être un handicap, pas drôle du tout... bien sûr, la chirurgie actuelle remédierait à tout cela mais à l'époque il fallait avoir de "gros moyens"
Jeffanne : c'est quand même moins pire que d'avoir trois seins, ça reste discret !
RépondreSupprimerBalmeyer : Tu m'énerves ! Les Amazons, belle invention, on y croirait ! :-))